Bonjour Florence,
Je t’écris pour te faire part de mon combat personnel concernant l’aide à la parentalité.
J’habite dans le Maine et Loire. J’ai 34 ans et je suis maman de deux enfants de 3 et 6 ans. J’ai une maladie génétique évolutive qui atteint les membres distaux. Je travaille au Conseil général comme adjoint administratif.
J’ai plusieurs centres d’intérêt dans la vie dont le combat pour l’aide à la parentalité.
Depuis que j’ai mes enfants, je fais des dossiers à la sécu, à la CAF pour avoir l’aide des travailleuses familiales et quand ces aides ont expirées, je me suis tournée toute seule vers la PMI en faisant une lettre à la PMI, au Président du Conseil général (mon patron), à la MDPH, à l’AFM (j’ai trouvé quelqu’un de sympa pour m’épauler dans mes démarches) et j’ai écris à un Député du 49 qui suit mon affaire et qui a dit qu’il allait en parler à l’Assemblée Nationale … en bref j’ai réussi à avoir l’aide de la PMI pendant un an. Ce qui a fait bouger les choses pour certaines familles car la MDPH et la PMI se sont dits qu’il fallait qu’ils communiquent sur les dossiers des familles, pour les mamans handicapées. J’ai relancé mais je n’avais plus d’aide pour mes enfants donc comme j’ai une PCH que je n’utilisais pas car elle ne me correspondait pas. La PCH devait servir pour mon cas perso. et pour des choses qui ne m’était pas utile (aide pour l’habillement, la toilette, les courses) et moi je demandais une aide pour le ménage et pour mes enfants, ce qui était refusée.
A ce jour, j’utilise ma PCH, l’auxiliaire de vie pour le ménage (même si je n’ai pas le droit : l’hypocrisie des institutions !) et je n’ai plus rien pour mes enfants. Je voulais laisser tomber le combat car mes enfants grandissent et je voulais me débrouiller toute seule mais d’autres problématiques surviennent : mon fils va faire du foot le mercredi et je ne sais pas comment je vais faire pour l’emmener.
En bref, je voulais reprendre le combat mais je pense qu’à plusieurs, c’est quand même plus motivant. De mon éducation et de ma personnalité, j’ai l’esprit assez combatif et je voulais écrire à notre Ministre de la solidarité. Je voulais savoir si cela t’intéressait de voir les lettres que j’ai écrites et je crois que j’ai une idée pour se faire entendre.
Cela m’a l’air assez compliqué sur ton site de communiquer avec toi. J’espère avoir une réponse.
Cordialement
Maëlle
Je t’écris pour te faire part de mon combat personnel concernant l’aide à la parentalité.
J’habite dans le Maine et Loire. J’ai 34 ans et je suis maman de deux enfants de 3 et 6 ans. J’ai une maladie génétique évolutive qui atteint les membres distaux. Je travaille au Conseil général comme adjoint administratif.
J’ai plusieurs centres d’intérêt dans la vie dont le combat pour l’aide à la parentalité.
Depuis que j’ai mes enfants, je fais des dossiers à la sécu, à la CAF pour avoir l’aide des travailleuses familiales et quand ces aides ont expirées, je me suis tournée toute seule vers la PMI en faisant une lettre à la PMI, au Président du Conseil général (mon patron), à la MDPH, à l’AFM (j’ai trouvé quelqu’un de sympa pour m’épauler dans mes démarches) et j’ai écris à un Député du 49 qui suit mon affaire et qui a dit qu’il allait en parler à l’Assemblée Nationale … en bref j’ai réussi à avoir l’aide de la PMI pendant un an. Ce qui a fait bouger les choses pour certaines familles car la MDPH et la PMI se sont dits qu’il fallait qu’ils communiquent sur les dossiers des familles, pour les mamans handicapées. J’ai relancé mais je n’avais plus d’aide pour mes enfants donc comme j’ai une PCH que je n’utilisais pas car elle ne me correspondait pas. La PCH devait servir pour mon cas perso. et pour des choses qui ne m’était pas utile (aide pour l’habillement, la toilette, les courses) et moi je demandais une aide pour le ménage et pour mes enfants, ce qui était refusée.
A ce jour, j’utilise ma PCH, l’auxiliaire de vie pour le ménage (même si je n’ai pas le droit : l’hypocrisie des institutions !) et je n’ai plus rien pour mes enfants. Je voulais laisser tomber le combat car mes enfants grandissent et je voulais me débrouiller toute seule mais d’autres problématiques surviennent : mon fils va faire du foot le mercredi et je ne sais pas comment je vais faire pour l’emmener.
En bref, je voulais reprendre le combat mais je pense qu’à plusieurs, c’est quand même plus motivant. De mon éducation et de ma personnalité, j’ai l’esprit assez combatif et je voulais écrire à notre Ministre de la solidarité. Je voulais savoir si cela t’intéressait de voir les lettres que j’ai écrites et je crois que j’ai une idée pour se faire entendre.
Cela m’a l’air assez compliqué sur ton site de communiquer avec toi. J’espère avoir une réponse.
Cordialement
Maëlle